Génèse 1.0
Ca y est.
C'est officiel.
Fuck GI n'est plus - il n'a d'ailleurs jamais existé.
Place désormais au nouveau combo fait de briques et surtout de branques : Les SponGees (prononcez Spone-djize. Voilà, comme ça).
Mais kézako, les SponGees ? Une nouvelle marque d'éponge à récurer ? Une équipe de rugbymen lapons ? Le nouveau sponsor de Travolta ? Un énième band de arènebi qui reprend "Killing me softly" ?
Rien de tout ceci, chers lecteurs boursouflés d'inculture.
Les SponGees sont en réalité une nouvelle race de musiciens, celle-même qui ne recule devant rien, pas même devant un bon bide en public, par exemple. Ces joyeux lurons (et rond petit patapon) s'en donnent à coeur joie entre midi et deux pour maltraiter, voire anéantir, les meilleurs morceaux écrits par d'autres esprits, génialement guidés par la douce Euterpe.
L'outrage est grandiose : Pink Floyd, Muse, Eagles, Radiohead, Johnny Cash, Bowie... tout passe à la casserole, poncée par les riffs malsains et pepeyresques de nos SponGees en rut majeur.
C'est donc une nouvelle et palpitante aventure qui commence, en compagnie de Ludo (chant/guitare/basse/claquettes/whisky), Pepeyre (guitare/banjo) et Chris (guitare/tronçonneuse/meule/whisky). Sans compter de prestigieux invités comme Benji (chant/pupitre/baryton-basse Florentpagnyesque) et Emily (chant/choriste de Bob Marley/alto Noirdésiresque)
Patience, les filles, les photos des membres du plus grand groupe de rock de notre bahut seront bientôt édités sur ce merveilleux site.
Ceci n'est pas Les SponGees.